LES LOUPS

TROIS BIOLOGISTES RENCONTRENT UN PINGOUIN QUI JOUE DU TAMBOUR EN ANTARCTIQUE. IL SONNE LE DÉBUT D’UNE EXPLORATION DE LEUR PART ANIMALE.

Texte et mise en scène : Jean Le Peltier
Avec : Pierrick De Luca, David Koczij,
Jean Le Peltier, Cécile Maidon
Sculptures : Vincent Glowinsky
Lumière : Émily Brassier / Stine Hertel
Costumes : Agathe Thomas
Animations vidéo : Rocio Alvarez
Musiques et Chants : David Koczij

Diffusion : Entropie
Production déléguée : Théâtre la Balsamine en collaboration avec Entropie Production

Une production Ives & Pony
En coproduction avec
Le Théâtre la Balsamine 
Le Vivat — Scène conventionnée Danse & Théâtre — Armentières.

Avec le soutien du CENTQUATRE et de La Bellone

Devinez qui sont les plus violents entre les humains et les animaux ?
Gagné ! Les animaux évidemment. Nous on n’a pas besoin d’être violent, on peut se parler. Du coup, c’est cool.

Au beau milieu des neiges de l’Antarctique, trois jeunes biologistes en mission, Cécile, Pierrick et Jean, perdent leurs esprits. Au lieu de rester sur le littoral à leur camp de base, ils se sont rendus illégalement sur la glace d’un lac gelé pour y prélever sous l’eau des bactéries millénaires.
Ils ont marché jusque là à demi conscient.

Leurs découvertes s’annoncent inédites et précieuses, mais au bout de quelques jours, ils doivent bien reconnaitre que s’ils sont à ce point téméraires c’est qu’ils se sont pris en fait pour des loups.

Cette histoire de biologistes perdus, physiquement et mentalement, dans les neiges de l’antarctique est un prétexte pour s’interroger, quand la mort n’est pas loin, si la tentation ne serait pas d’essayer d’être autre chose que des êtres humains.
L’expérience de la pièce choisit les loups, alors qu’il n’y a jamais eu de loups en Antarctique. C’est totalement gratuit.
Mais ça permet de comparer ce qu’il y a de plus violent entre la posture d’un loup et la posture d’un être humain.

La pièce a été écrite en résidence à La Bellone.

Elle s’inspire entre autre d’une fameuse séquence tirée du documentaire de Werner Herzog, dont vous pouvez découvrir un extrait ici, Rencontres au bout du monde.